La librairie Les Temps Modernes et Images du Pôle
ont le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition
La Furtive
photographies de Grégory Valton
Vendredi 14 Novembre 2008 de 17h30 à 19h
en présence de l'artiste et d'Anne Egger,
La Furtive
photographies de Grégory Valton
Vendredi 14 Novembre 2008 de 17h30 à 19h
en présence de l'artiste et d'Anne Egger,
auteur d'une biographie de Robert Desnos parue chez Fayard.
La Furtive est une série photographique
La Furtive est une série photographique
s'inspirant du dernier voyage de Robert Desnos,
déporté le 22 février 1944 vers l’Allemagne
et mort le 8 juin 1945 dans le ghetto de Terezin, en République Tchèque.
Vous trouverez tous les détails sur cette exposition
Vous trouverez tous les détails sur cette exposition
Librairie Les Temps Modernes
57 rue ND de Recouvrance
Orléans - 02 38 53 94 35
Images du Pôle
24 rue de Limare
Dans le message du 1er novembre, nous avions établi une liste d'impressions suite aux entretiens individuels du 31 octobre. Édouard D et Chloé D nous ont fait parvenir des précisions que nous portons à votre connaissance tant elles nous paraissent judicieuses.
Pour Édouard :
Je viens de lire le petit résumé que vous avez fait à propos de mon sujet sur le quotidien
« Se soumettre à une surveillance systématique, l'oublier et vivre devant un œil froid. Constater que des instants précieux en sont révélés et essayer d'en faire image (Édouard). »
J'aimerais rajouter que je ne vais pas uniquement capter mes actions quotidiennes, mais que je vais également dans un second temps bouleverser ces mêmes actions en inversant leur durée. Que se passe t-il quand je consacre le temps habituel de mon sommeil à mon repas et inversement? (par exemple).
Pour Chloé :
« Observer les objets, constater comment les autres se « débrouillent » avec (Chloé D). »
Rebonjour, il s'agit d'une petite précision par rapport à la petite phrase synthétisant ma recherche dans le domaine de l'a.r.c du livre.
Pour chipotter un peu, je voudrais juste préciser ; le terme "débrouiller" me gêne un peu c'est plutôt comment les autres vivent, comment l'objet rend vivant le quotidien de chacun et surtout comment il raconte une histoire individuelle. Le quotidien de chacun existe mais ne devient poétique, raconteur d'histoires, rassurant que par le recul, par l'appartenance à cet autre.
Votre phrase est juste mais je me contente de repréciser les choses.
Rebonjour, il s'agit d'une petite précision par rapport à la petite phrase synthétisant ma recherche dans le domaine de l'a.r.c du livre.
Pour chipotter un peu, je voudrais juste préciser ; le terme "débrouiller" me gêne un peu c'est plutôt comment les autres vivent, comment l'objet rend vivant le quotidien de chacun et surtout comment il raconte une histoire individuelle. Le quotidien de chacun existe mais ne devient poétique, raconteur d'histoires, rassurant que par le recul, par l'appartenance à cet autre.
Votre phrase est juste mais je me contente de repréciser les choses.
Voir aussi le commentaire de Marianne à la suite de l'article du 1er nov. et consulter son blog.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire